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Beni Maouch

Un sourire pour l’Algérie jeune ....

Laidaoui Rabah

Mr Laidaoui Rabah Maire de Beni Maouch

Haderbache Mohand Arab

Mr Haderbache Mohand Arab secrétaire général de l’APC, Beni Maouch

Beni Maouch (Ait Maouch)

Ath Maouch -Aitimaouch-AUTHROUNEN - Trouna - Letnien - Telatha -At Maeuc...

Beni Maouch

Vidéo ,Clic ici Vous trouverez quelques belles photos d’Ait Maouch  sur ce lien

Clic ici pour voir la 2Me Vidéo suivi d’un très beaux textes de H Boukider .

Ait Maouch

Commune s/zone1 s/zone2 s/zone3
s/zone4
s/zone 5
Beni maouche zone V
 
Beni maouche
 

Taazibt
Tikassarine
Ait ounar
Ouguenoune

Tizekht

Tala n’tinzar-Ighzer oubelout
Ait boudjala-Lazib sidi sadek
Akour-Iaâmranene -Bouraane-El’djabia -El’guelaâ-Ighaldène
Taourirt aguemoune -Lazib-Idjdarène
Lamrahna-Amagroud-Ighil ouato
Bouakni-Tioual-Ibaâzizen-Mzita

Mrahna-Aourir adjissa-Tagnit-Ighil boubirek

pour en savoir plus sur cette commune clic sur le lien suivant:  

http://fr.wikipedia.org/wiki/Beni_Maouche

Vue d'Ait Maouch

Ait Maouch

Ait Maouch

Tiwal

Tiwal

Vue d'Ait Maouch

Ait ouartilane

Ait ouartilane .Vue d'Ait Maouch

Bejaia

Bejaia : D 06000 (Vega ait) Bgait.

Bejaia : D 06000 (Vega ait) Bgait.

Béjaia

Bejaia : D 06000 (Vega ait) Bgait.

BEJAIA

Bejaia : D 06000 (Vega ait) Bgait.

 

الحرائق تلتهم 900 هكتار من البلوط والزيتون في ظرف يوم واحد ببني معوش في بجاية

تم إحصاء 5 غرقى في ظرف أسبوع

الحرائق تلتهم 900 هكتار من البلوط والزيتون في ظرف يوم واحد ببني معوش في بجاية

2008.08.16 الفجر
حجم الخط :
كادت منطقة بني معوش بولاية بجاية أن تلتهمها ألسنة النيران أول أمس الخميس بعد أن اجتاحت 3 مزارع تبدو قريبة من التجمعات السكنية، أين تم اتلاف 900 هكتار من أشجار البلوط والصنوبر إلى جانب أدوات فلاحية مع أنابيب بلاستيكية وكذا العديد من أشجار التين والزيتون والتفاح، حسب ما أفادت   "للفجر" مصادر من الدرك الوطني التي تدخلت لإطفاء  هذه النيران  التي مست مناطق أخرى كبن جليل التي أحصت فيها مصالح محافظة الغابات بدورها 25 هكتارا من الأشجار المثمرة والغابات مع حرق منزل قديم  وكذا 13 هكتارا على مستوى مزوار بأكفادو مست الغابات،  في حين لم يتم التصريح عن حصيلة  الاماكن التي بقيت فيها النيران مشتعلة لغاية أمس كما تمكنت مصالح الدرك الوطني في حصيلتها الأسبوعية من انتشال جثث لـ 5 غرقى عبر شواطئ بجاية في كل من شاطئ المرملة وسوق الاثنين مع شاطئ سيدي وعلي وشاطىء لوطة ولوليماط، فضلا عن ذلك تم إحصاء 15  حادث مرور خلف مقتل شخص وإصابة 28 آخرين إلى جانب توقيف 16 متهما بالسرقة والضرب والجرح العمدي وتكوين جمعية أشرار أين تم إيداع أربعة منهم الحبس والإفراج عن آخرين .
جمال عميروش

L'info. au quotidien

Elwatan  Edition du 16 août 2008

 Aît Maouche (B’Gayet) ravagée par les incendies : Des villages évacués

En ce jeudi 14 août, une dizaine de foyers d’incendie se sont déclarés dans la commune rurale l Les flammes, attisées par le sirocco, se sont propagées rapidement pour dévaster des centaines d’hectares de vergers, d’oliveraies et de pinèdes l L’origine criminelle de ces incendies ne fait pas de doute chez les villageois.

B’Gayet : De notre bureau

Un paysage lunaire et des citoyens au bord du désespoir. Voilà le visage qu’offrait hier Aît Maouche, une commune rurale située au sud de la wilaya de B’Gayet. Cette localité, connue pour ses figues et ses olives, aura vécu l’une des journées noires de son histoire. Vers 11h, une dizaine de foyers d’incendies se sont déclarés simultanément, en divers points du territoire de la commune, à quelques minutes d’intervalle les uns des autres. Attisées par le violent sirocco qui n’a pas cessé de souffler durant toute cette journée caniculaire du jeudi, les flammes se sont propagées très rapidement pour avaler des centaines d’hectares de vergers, de figueraies, d’oliveraies et de pinèdes.

Malgré la forte mobilisation de la population et l’intervention de l’unité de la Protection civile de Seddouk, rejointe un peu plus tard par des renforts venus de B’gayet, la progression des incendies sur plusieurs fronts a fini par menacer neuf villages dont les populations ont été évacuées. Au village d’Iâmaren, l’un des plus touchés par la catastrophe, nous avons rencontré des paysans complètement ruinés. L’un d’eux, Fettal Abbes, a eu beaucoup de peine à cacher son émotion. Il a presque tout perdu. Son stock de foin, plus de 700 bottes, ses ruches, son verger, ses oliviers, ses figuiers, sa tuyauterie et son matériel agricole. Il ne lui reste que sa maison, épargnée par les flammes grâce à l’intervention des citoyens et des services de la Protection civile. « Je me suis sacrifié pendant des années et il ne me reste plus rien. Des années de labeur sont parties en fumée. Même d’ici à 10 ans, je ne pourrais pas refaire ce que j’ai perdu », dira-t-il, les larmes aux yeux, le regard perdu dans le paysage de cendres et de désolation environnant sa maison. D’autres citoyens viendront appuyer ce constat amer et ce sentiment d’abandon que ressent la population après la série de catastrophes que la région a connue.

En effet, après les criquets d’il y a deux ans, le séisme de 2000 qui a détruit un peu plus de 1500 maisons, voilà les incendies qui obligent beaucoup d’agriculteurs et d’éleveurs à mettre un genou à terre. Rencontré au seuil d’une maison dont les murs ont été léchées par les flammes, un vieil homme triste mais digne dira que c’est la pire des catastrophes qu’il a connues au terme d’une vie vouée au dur labeur de la terre. « Personne ne se rappelle de notre existence ici », lâche-t-il, amer. Laâla Aouchiche, qui exploite une ferme qui compte 150 vaches laitières, 50 génisses pleines et une quarantaine de veaux d’engraissement, a été également touché par le sinistre. Cet éleveur qui exploite, parallèlement à son élevage, plusieurs lopins de terre a perdu 3,5 hectares de pommiers. En compagnie du président de l’APC de Aît Maouche, Laidaoui Rabah, nous nous sommes rendus dans plusieurs villages touchés par les incendies de jeudi. Le constat chiffré est difficile à établir. Ce sont des centaines d’hectares, essentielle ment de figuiers et d’oliviers, qui ont été ravagés par le feu.

C’est la principale et quasiment l’unique ressource de cette commune pauvre qui s’étend sur 95 km2. « Au bas mot, on peut évaluer les dégâts à près de 30 milliards de centimes », dira l’un des élus. Une dizaine de maisons ont été touchées par les incendies qui n’ont été circonscrits que tard dans la nuit. Si, fort heureusement, on ne déplore aucune perte humaine, c’est grâce à la mobilisation de tout un chacun. Cependant, dans cette commune de Aît Maouche, qui s’apprête à commémorer la date historique du 20 août et à célébrer la 7e édition de la fête de la figue, tout le monde s’interroge sur le pourquoi de cette série d’incendies dont l’origine criminelle ne fait guère de doute.

Par Djamel Alilat .

liberte 09/09/2006

Béjaia, Beni Maouche fête la figue, Un label à encourager

Une moyenne de 20 000 quintaux de figues est produite chaque année. 2 000 quintaux sont consommés en frais et 18 000 sont séchés, ce qui, après séchage, donne 6 000 quintaux de figues sèches conditionnés et commercialisés à travers une bonne partie du territoire national.

La fête de la figue de Beni Maouche a pris fin, hier, après cinq jours de manifestations tant culturelles, artistiques que commerciales.
Organisée par l’APC en collaboration avec des associations locales, cette fête que l’on désigne aussi sous le nom de foire, en est à sa sixième édition cette année et semble bel et bien avoir trouvé aussi bien sa vocation que son rythme de croisière. Près de 60 exposants ont participé à l’exposition-vente organisée en face du siège de la mairie avec une gamme de produits agricoles variée mais dans laquelle la figue sèche se trouve être le produit phare.
Le programme concocté à l’occasion de cette sixième édition a tourné autour de trois axes principaux, à savoir le tourisme, la culture et l’agriculture car il s’agit avant tout de faire connaître cette belle région des Ath Imaouche et tout ce qu’elle recèle comme potentialités. Le programme culturel comportant du théâtre, de la musique, des projections de films et documentaires ainsi que des conférences, a été tracé avec l’aide d’une association locale dénommée Rencontre et Savoir. Les produits agricoles qui ont fait la renommée de Beni Maouche sont, selon M. Haderbache Mohand Arab, secrétaire général de l’APC, la figue fraîche et sèche, l’huile d’olive, le miel, le raisin et le caroube. Véritable locomotive de l’économie locale, la figue produite par une multitude de vergers de cette commune de 28 villages et 20 000 âmes, fait vivre une bonne partie de la population. Une moyenne de 20 000 quintaux de figues est produite chaque année. 2 000 quintaux sont consommés en frais et 18 000 sont séchés, ce qui, après séchage, donne 6 000 quintaux de figues sèches conditionnés et commercialisés à travers une bonne partie du territoire national. La commune compte 1007 hectares de figuiers et près de 137 000 arbres en production, mais en l’absence d’une politique agricole cohérente et d’un soutien franc de la part de l’État, le secteur végète encore au stade artisanal si l’on excepte les quelques timides tentatives de moderniser les outils de production et de commercialisation. Au nombre des entraves que rencontrent les paysans producteurs, on cite le manque de pistes agricoles et de retenues collinaires dont deux, en tout et pour tout, ont été réalisées dans la région.
  Pourtant les exemples à suivre en matière de développement abondent. Deux jeunes paysans du terroir, Chaouch Youcef et Kaci Saâdane, ont monté une petite coopérative dénommée Amfigal pour Ath Maouche Figues Algérie. À eux deux, ils produisent 22 quintaux de figues sèches, mais ils rachètent la production des autres fellahs pour les conditionner et les revendre. Cette année, 188 paysans leur ont cédé leurs produits bruts. De quoi fournir un travail saisonnier pour dix filles de la région pour le tri et le conditionnement en barquettes, en cartons et en sacs de nylon. Le premier choix, dénommé la Supra, est vendu autour de 250 DA le kg. Le deuxième, appelé l’Extra, est cédé au même prix mais dans un emballage moins luxueux. Le troisième choix est fourgué dans des sacs de nylon pour 200 DA le kg. L’année dernière, présents à la foire d’exposition de la Safex à Alger, les deux associés ont eu des contacts prometteurs avec beaucoup de négociants, et si tout va pour le mieux, on risque bien de retrouver la figue de Beni Maouche sur les rayons des supermarchés en France, au Canada, au Cameroun et en Belgique.     À Beni Maouche, il est évident que la nature et les hommes font chacun leur part du boulot.

Ecrit par : Djamel Alilat

 

. Beni Maouch (Ait maouch) Ait Maouch.tasekourth. tassacourt tasecourth

 

El watan Edition du 26 septembre 2005

L'info. au quotidien

Kabylie info

VILLAGE Beni Maouche À BÉJAÏA

beni maouchTi Bekhsisin Tibeksisin

 

Vers la labellisation de la figue locale

La cinquième édition de la Fête de la figue de Beni Maouche dans la wilaya de Béjaïa, tenue les 13 et 14 septembre, aura été bonne cette fois-ci, après les quatre éditions précédentes. La bonne récolte, quantité et qualité, de cette année y est pour quelque chose, mais aussi avec l’effort de la jeune association de fellahs, Association pour le développement agricole et rural, (ADAR).



Celle-ci se dépense à convaincre les producteurs de s’organiser pour la défense et la promotion du produit local de la renommée nationale, et de surcroît, facilement exportable. L’association, qui revendique plus de 120 adhérents, a réussi à impliquer plus activement ces derniers dans la préparation et la prise en charge de la fête. Comme un peu partout en Kabylie et peut-être un peu plus à Beni Maouche, le figuier (avec l’olivier, son compagnon) est l’arbre roi. Ces deux arbres typiquement méditerranéens constituent la seule richesse de ce village haut perché sur les montagnes de la rive sud de la Soummam. Le figuier illumine le paysage et donne du relief à cette procession de collines qui ondulent vers l’infini. L’on comprend tout d’un coup, tout le grand intérêt que les Ath Maouche ont toujours porté à l’arbre mythique. L’arbre millénaire a pendant longtemps constitué la source essentielle de leur subsistance. Le figuier, en plus de son étonnante capacité d’adaptation, est très productif. Intimement lié à l’histoire et la culture de la Kabylie, l’arbre offre aujourd’hui de grandes opportunités de valorisation de vastes terres marginales et d’intégration économique de nos régions montagneuses par la création d’emplois et de petits investissements. A Beni Maouche, on assiste à un retour progressif des gens vers le travail de la terre. De plus en plus de jeunes investissent le domaine et semblent s’y plaire. D’autant plus, qu’avec le temps, les produits du terroir commençant à regagner du terrain, (grâce surtout à une bonne « publicité » : produits naturels aux vertus thérapeutiques) ont de plus en plus de débouchés. Cédée à 300 DA le kilo, et jusqu’à 500 pour le premier choix (ce qui n’est pas rien), la figue sèche parait aujourd’hui parmi les créneaux les plus porteurs. Et la figue de Beni Maouche s’impose déjà comme l’un des meilleurs produits du pays. Elle est même « imitée », puisqu’il y en a qui vendent leur production de figue en prétendant et en jurant qu’elle vient de cette région. Et c’est pour cela qu’il est apparu nécessaire aux fellahs de la région de défendre leur culture ancestrale. La foire de cette année a pour cela été un peu spéciale. Pour une fois, le produit local a été conditionné, sur tous les étalages, l’on voit la belle et pleine figue de Beni Maouche bien emballée, dans des barquettes sous film plastique, avec une étiquette (tirée sur simple imprimante de bureau) portant « droit de label réservé ». Une « trouvaille » de la jeune association locale, qui a forcé la main à ses adhérents en exigeant d’eux de conditionner toutes les marchandises à exposer, histoire de montrer la voie.

Un produit de luxe ?

Pour rappel, l’un des objectifs primordiaux de l’association est l’installation d’une unité de conditionnement de la figue, par l’entremise d’une coopérative au sein même de l’association, ce qui constituera le premier jalon vers la labellisation du produit. La figue de Beni Maouche est sans conteste parmi les meilleures d’Algérie. D’un bon calibre, bien pleine et succulente à souhait, elle s’impose sur les étalages. Des analyses ont déduit sa bonne qualité nutritionnelle et surtout sa longue période conservation. Ce qui est essentiel pour l’industrie. C’est plutôt bien parti pour les Ath Maouche de voir enfin leur produit pris en charge et leurs efforts, depuis ces longues années, aboutir. Les locaux ont été trouvés et les autorités seraient prêtes à aider les fellahs à surmonter leurs difficultés pour se consacrer à réussir une modernisation de leur culture. La fête a été une bonne occasion pour les agriculteurs de discuter avec le service de l’agriculture de la wilaya (DSA) qui se sont engagés à les aider, à condition de s’organiser. Car l’une des principales difficultés pour la modernisation de notre agriculture reste la parcellisation des terres (la plupart des producteurs disposent de plantations de moins d’un hectare). Et comme « on ne peut pas donner un tracteur pour chacun », il reste la formule de la coopérative qui permet de venir en aide à des initiatives groupées. Par ailleurs, des structures techniques, tel l’ITAF de Takerietz l’Institut technique de l’agriculture fruitière (ITAF) et la recherche agronomique (INRAA) présents à la fête, ont promis de se mobiliser aux côtés des fellahs pour les orienter, les conseiller et les aider pour préserver et améliorer leurs cultures. Ils ont conjointement organisé une conférence-débat qui a beaucoup intéressé les citoyens, et où l’on a beaucoup appris sur la figuiculture en Algérie et les possibilités qu’offre celle-ci pour le développement de la région. L’on a appris par exemple que la figue algérienne est « bradée » aux frontières pour aboutir dans les quotas du Maroc et la Tunisie destinée à l’UE. Or, l’Algérie qui a été parmi les premiers producteurs mondiaux de la figue sèche a peu à peu cédé la place, et voit aujourd’hui la figue turque (à bas prix) envahir ses étalages. Avec les accords d’association avec l’UE, a-t-on prévenu, il faudra s’attendre à une véritable invasion. Ce qui menacera sérieusement la production de la région.

Faire face à la concurrence

Devant cette mondialisation à pas forcés, où même les Etats-Unis, qui n’ont pourtant introduit la figue chez eux que récemment, commencent à faire concurrence à l’Europe, « on finira par donner nos figues à nos bêtes », résumera le SG de l’APC. Et la voie risque d’être longue pour faire face à cette concurrence : il faut bien produire, en respectant les normes internationales, mais surtout maintenir le rythme, en qualité et en quantité. De 1 million de tonnes par an dans les années 1930, la production de la figue en Algérie a dégringolé à quelque 60 000 t. Et de 8 millions d’arbres à un peu plus de la moitié aujourd’hui. Un grand travail de réhabilitation reste à accomplir. Il s’agit, en plus de reprendre les niveaux de production d’antan, de répertorier toutes les variétés du figuier algérien, étudier sa variabilité génétique pour mieux le préserver et l’améliorer, d’autant plus qu’on s’achemine, économie de marché oblige, vers la spécialisation. Des variétés sont également à sauver de la disparition. A Beni Maouche, la variété taâmriwt, qui réussit mieux en figue fraîche constitue à elle seule 80% des plantations. Cette spécialisation induite par le besoin économique fait que des variétés rares ont disparu ou sont en voie de l’être. En plus d’être partie intégrante de notre histoire et de notre culture, la figue s’avère être un bon produit sur le plan économique. Energétique, riche en vitamines et éléments minéraux (potassium, calcium, phosphore et magnésium), la figue a d’autres utilisations médicinales et thérapeutiques prouvées : elle a des propriétés laxatives et diurétiques, et a toujours été utilisée (baignée dans de l’huile d’olive) comme médicament pour les maladies respiratoires et les asthmatiques. Les feuilles du figuier sont un bon aliment de bétail, et son latex, traditionnellement utilisé contre les verrues, peut s’utiliser (séché et poudré) comme coagulant du lait. Et comme tout autre fruit, la figue peut avoir diverses utilisations dans le domaine alimentaire. On peut en faire de la confiture, du sirop et même de l’eau de vie. C’est ce que semble vouloir dire cet exposant, qui a tenu à mettre une belle touche artistique à la fête avec ses bocaux de confitures et de sirop, mais surtout avec une variété de gâteaux faits maisons : des tartes à la figue, du r’fiss de figue et du mekrout à la figue, et bien d’autres « inventions ». S’il est vrai que la dure réalité de nos ancêtres les avait empêché de trop penser gâteau, il n’en demeure pas moins qu’il est possible, aujourd’hui, d’utiliser nos figues de mille manières.

Par M. Yessa

Avis des lecteurs...

Le 15.07.2008 à 15h00
Vers la labellisation de la figue locale

azul,c’est bien de sensibilisé les gens,parce que c’est le menment ou jamis car beaucoup d’éspeces on les connaient pas surtot nos les jeunes et nos parents ont arrétés de les travaillés,mais la kabylie est trés riche en figuir,s’ils interessent plus en peut méme d’exporter. je me présente, moi c’est kadi zaina je suis etudiante en agronomie a tizi ouzou,je prépare mon mémoire sur le figuier,je vous demande de bien vouloir de m’aider pour avoir plus d’inforation,merci.répondre

répondre
Vers la labellisation de la figue locale

apres avoir lu votre apreciation concernant la figue de beni maouche et comme vous etes etudiante dans la matiere et vous preparez actuellement votre memoir fin d’etude sur le theme de la figue je tiens a vous informer que la 7eme edition de la fete de la figue a beni maouche aura lieu du 20 au 24aout 2008 ou pleursieur chercheurs seront presents afin d’animer des conferances et des seminaires alors on vous invites a assister a cette dite fete med arab haderbache SG DE la commune de beni maouche

إلغاء حفل التين ببلدية بني معوش بسبب المنتوجالجزائر العميإل المنتوجقة  

بجاية

الخبر 28/10/2007
 قرر المنظمون للحفل التقليدي للتين، الذي يصادف بداية شهر ديسمبر من كل خريف بمنطقة بني معوش في بجاية، إلغاء حفل هذا الموسم، لعدة أسباب منها: ضعف المنتوج وقلة العارضين، ورفض أغلب العائلات المالكة لهذه الثروة المشاركة في هذه التظاهرة، حفاظا على سمعتها من جهة، وسمعة الغلة التي تحظى باحترام الجميع من منتجين ومستهلكين. وأرجع المنظمون ضعف المنتوج إلى عوامل كثيرة منها الأمراض التي أصابت أشجار التين والحرائق المهولة التي شهدتها منطقة الصومام خلال الأيام الماضية، والتي خلفت كارثة حقيقية في أشجار التين والزيتون. وهو ما أكده ممثلو قطاع الغابات قبل أيام، لما أشاروا إلى إتلاف الحرائق لأكثر من 5000 شجرة تين بضواحي حوض الصومام. وللتذكير، فإنه لأول مرة، يلغى هذا الحفل منذ عشرات السنين. وهي العادة التي ورثها الأهالي من أسلافهم منذ العهد العثماني لما كانوا يعرضون منتوجهم في ساحة عمومية ليتفقدها الخزناجي ويختار منها نصيب السلطان. وهو ما جعل تين منطقة بني معوش اليوم يحظى بسمعة ومكانة محترمة في كل مناطق الوط

المصدر : بجاية: ع . رضوان
2007-10-28




  Elyas SEDDIKI

Portrait de morad ( ELYAS) SEDDIKI

il occupe le poste d’animateur de personnages de Lucky Luke 2007 LIRE LE TEXTE